Dans les couloirs du lycée Massira, à Ouled Ghanem, au sud de Casablanca, la peinture, à l'heure de la rentrée des classes, est encore fraîche sur les murs. À 17 heures tapantes, la sonnerie marque la fin des cours et libère les élèves qui se ruent vers la sortie. Au milieu de l'allée centrale, la voix d'Abdel Hadi Sabioui résonne : « en 2021, les trois quarts de nos …
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